La DSP2 a instauré un changement de paradigme complet dans le domaine des paiements. Désormais, la décision de déclencher une authentification forte revient à l’émetteur du porteur de carte. 

À l’heure où se développe à grande vitesse le métavers, monde fictif où se mélangent pixels et achats virtuels, se pose plus que jamais la question de l’expérience de paiement en ligne pour toutes les entreprises.

Les mesures d’isolement appliquées depuis le début de la crise sanitaire mondiale ont impacté en profondeur l’industrie du jeu.

Processus d’enregistrement, traitement des données clients, choix des méthodes de règlement… Le parcours de paiement de l’utilisateur est jalonné de nombreux points de tension, parfois bloquants. En vue d’optimiser les taux de conversion, de réaliser des ventes additionnelles et de soigner leur image de marque, les acteurs du secteur des jeux en ligne se saisissent des grandes tendances du monde du paiement !

Aidées par les nouvelles technologies et contraintes par le contexte sanitaire, les entreprises sont chaque jour plus nombreuses à franchir le pas pour se lancer dans la mise en place d’une stratégie omnicanal, et ce, quelle que soit leur taille. Mais force est de constater que le commerce unifié reste victime de multiples préconçus.

Au moment d’étendre ses activités à l’international se pose forcément la question de la langue, de la devise, mais aussi, celle tout aussi stratégique des habitudes de paiement locales. En effet, si la carte bancaire est la méthode de paiement la plus répandue en France, celle-ci n’est pas forcément le moyen de paiement privilégié par nos voisins.

Pour réussir votre expansion à l’international, vous devez donc connaître les méthodes de paiement préférées de ces marchés cibles afin de les proposer et de maîtriser pleinement les enjeux de sécurité et d’interopérabilité associés.